No man is an island – Raphaël Soleilhavoup
Inspiré du célèbre poème No Man is an Island de John Donne (XVIIe siècle), ce solo nous projette face à un corps immobile qui émerge de sa torpeur et accède petit à petit au mouvement pour tenter de se relier au monde. Dans ce dialogue inédit entre poésie ancienne et danse contemporaine, Raphaël Soleilhavoup nous montre que nous faisons partie d’un tout – à la fois sensible et merveilleux – et que notre interdépendance constitue notre humanité même. ―
Chorégraphie et interprète : Raphaël Soleilhavoup
Synthèse humaine – cie La Danzateria
Un espace circulaire. Deux bureaux. Un corps et un instrument à leur poste de travail. Dans un univers organisé à l’image d’un programme préinstallé, une danseuse et un musicien explorent le thème de la robotisation. Danse et musique se confrontent, s’accordent et expérimentent jusqu’à se confondre :
Les machines amplifient, bouclent et transforment les sons en direct.
Le corps à l’image de la basse électrique devient un instrument à produire de la musique, faisant surgir l’émotion, le souvenir d’un moment perdu. La parole devient matière à créer, le souffle et les bruissements du corps musicalité.
- Chorégraphe interprète : Laetitia Brighi
- Compositeur interprète : Laurent Gueirard
- Lumière : Cédric Gueniot
- Ingénieur du son : Antoine Le Jouan
- Costumes : Laura-Stella Santini